Nowhere is safe.
Une fois face à la vérité, il ne pouvait que se la répéter encore et encore, un disque rayé, la même phrase qui tourne en boucle, la même blessure dont la fine cicatrice s’ouvre à nouveau avec un picotement acide et brûlant, on souffle dessus. Jamais la croûte ne sera suffisante. Et quand la phrase se répète, elle aveugle tout, expansée et s’écrase sur le cerveau. La petite phrase assassine.